»Voici, dans tous les cas, un homme qui nous fait aimer la peinture, qui la situe bien au-dessus des entreprises dérisoires de ceux qui cherchent à reproduire la réalité. [...] Max Beckmann nous tient [...] à la gorge, en exigeant de nous une prise de conscience qui nous permet de le rejoindre là où il a cherché ›d’infinie beauté de la création‹.« Wendet sich gegen die Feststellung von Bernard Dorival (Peintres du XXe siècle, Paris o. J., nach 1959): »[...] un ouvrage de Max Beckmann est abominablement mal peint«.